2000-2001 - Gangs of New-York - Réalisation Martin Scorsese - Début du tournage : août 2000

Avec : Leonardo DiCaprio, Robert de Niro,

L'histoire : Saga sur les gangs irlandais de Manhattan au XIXe siècle.

 

Info tournage "Gangs of New-York" & "Catch me if you can" :

Info - 13 novembre 2000 - DiCaprio s'emmêle les tournages !
Le retard pris par le tournage de "Gangs of New York" pourrait retarder celui de "Catch me if you can", Leonardo DiCaprio jouant dans les deux films. Avoir un emploi du temps chargé peut provoquer quelques problèmes. Un seul grain de sable peut enrailler la mécanique et, par un effet boule de neige, faire s'accumuler les soucis. Demandez donc à Leonardo DiCaprio qui se retrouve aujourd'hui dans un imbroglio : un retard de tournage de deux semaines provoque une vraie révolution concernant son projet suivant. Détail des faits.
Leonardo DiCaprio, la star de Titanic tout juste échappé de La plage, est donc depuis fin août sur le tournage du nouveau film de Martin Scorsese, Gangs of New York, où il côtoie Cameron Diaz, Liam Neeson et Daniel Day-Lewis. Le film relate les conflits entre gangs irlandais et italiens qui eurent lieu dans le New York du 19ème siècle. Tout se passait bien jusqu'à ce que la production de ce film au budget de 90 millions de dollars annonce un retard d'environ deux semaines sur le tournage. Une nouvelle qui a mis DiCaprio dans un embarras certain.
Le comédien devait en effet immédiatement enchaîner le tournage de Gangs of New York avec celui de Catch me if you can, film qui relate l'histoire vraie de Frank Abagnale Junior, jeune criminel recherché par le FBI pour contrefaçon.
Conséquence de ce retard, le tournage de Catch me if you can ne devrait pas débuter avant la probable grève des scénaristes américains l'été prochain. Une situation qui éliminerait ipso facto le réalisateur attitré du film, Gore Verbinski (La Souris), qui lui ne pouvait réaliser Catch me if you can qu'à la période initialement prévue.
Pour faire clair : Leonardo DiCaprio met un point final au tournage de Gangs of New York mais le tournage de Catch me if you can (auquel il est toujours rattaché) étant repoussé aux calandes grecques, voilà le jeune comédien avec un beau trou dans son emploi du temps. Gageons qu'il ne devrait pas rester longtemps sans employeur.

Info - DiCaprio à la barre - Célébrités, 12 Décembre 2000 - L'acteur Leonardo DiCaprio sera jugé au sujet d'une rixe qui avait éclaté en 1998. Explications... Leonardo DiCaprio fait grise mine. La star de Titanic vient d'apprendre qu'il devra être jugé au sujet d'une embrouille ayant eu lieu le 4 mars 1998. Rappel des faits... Le 4 mars 1998, donc, le nouveau chouchou de Hollywood n'aurait rien trouvé de mieux à faire que de draguer Elizabeth Berkley (Showgirls, série télé Sauvés par le Gong), alors que le boyfriend de celle-ci était dans les parages. Tellement dans les parages que le boyfriend en question, Roger Wilson, serait devenu tout rouge en voyant Leo faire des avances à sa dame. Roger Wilson aurait donc demandé des comptes à l'acteur qui aurait, semble-t-il, réagi de manière radicale. Celui qui était récemment à l'affiche de La plage aurait en effet purement et simplement demandé à ses amis présents de faire voir du pays à Wilson, autrement dit de lui faire comprendre qui était le patron, et encore mieux dit, de le taper ! Roger Wilson a modérément apprécié. Il a donc décidé de poursuivre l'acteur en justice. La cour d'appel de Manhattan vient donc de convoquer Leonardo DiCaprio à être jugé au sujet de cette rixe. Selon elle, les incitations à la violence de l'acteur ainsi que l'immédiate obtempération de ses amis nécessite un procès. La cour d'appel avait déjà rendu un jugement, mettant en avant "une complicité d'agression et de voie de fait". Roger Wilson réclame pas moins de 45 millions de dollars. Les mauvaises langues ne se privent pas pour affirmer que Leonardo DiCaprio est souvent dans les mauvais coups (scandales dans des pubs, ...). Aujourd'hui, le comédien leur donne malheureusement raison, et c'est par ses écarts de conduite plus que par ses prestations à l'écran qu'il fait la une de l'actualité. Leonardo Di Caprio a achevé il y a peu le tournage de Gangs of New York, le nouveau long métrage de Martin Scorsese qui relate les conflits entre gangs irlandais et italiens dans le New York du 19ème siècle. L'acteur y côtoie Cameron Diaz, Liam Neeson et Daniel Day-Lewis. (C.C. - AlloCiné 12 Décembre 2000)

Article de "tempo" - Lundi 11 décembre 2000 - Leonardo DiCaprio jugé pour complicité d'agression. Leonardo DiCaprio sera jugé pour la rixe qui avait éclaté au sujet de l'actrice Elizabeth Berkley (Sauvés par le Gong), ainsi en a décidé la cour d'appel de Manhattan. Le héros de Titanic et de La Plage est poursuivi par l'acteur et scénariste Roger Wilson qui l'accuse d'avoir encouragé ses amis à l'agresser le soir du 4 mars 1998. Roger Wilson était venu demander des comptes à Leonardo DiCaprio à propos des avances que ce dernier avait apparemment faites à sa petite amie d'alors, Elizabeth Berkley. Leonardo DiCaprio aurait alors encouragé les amis qui l'accompagnaient à régler son compte à Roger Wilson, et c'est pour cette raison que ce dernier le poursuit aujourd'hui pour 45 millions de dollars. La décision de la cour d'appel de Manhattan suit un précédent jugement qui n'avait pas retenu les charges d'agression et d'atteinte à l'intégrité physique, mais celles de "complicité d'agression et de voie de fait". La cour d'appel considère que les encouragements à la violence proférés par Leonardo DiCaprio et le fait que ses amis aient obtempéré immédiatement soulèvent assez de questions pour que cela doive être tranché devant un tribunal.

A propos du tournage de "Gang of New York" de Scorsese avec Leonardo DiCaprio : Article paru dans The Gardian / The Observer (film unlimited) Marty, Leo and me.
When he got the chance to appear in Martin Scorsese's new movie, currently shooting in Rome, Rory Carroll jumped at it. It would be 'such fun', he was promised. What he got was a dreary dawn start, a frugal breakfast, hours under a baking sun and a near-riot on set...

Wednesday November 29, 2000
Tacked to a noticeboard in the cinema foyer, jostling with offers of English lessons, second-hand bicycles and a kitten called Alberto, is a small poster. Typed black letters explain that a Hollywood blockbuster is coming to Rome and would anyone interested in participating please phone the number at the bottom. There is no number, or a bottom, just a jagged rip. Gotta move fast in this business. It takes a while to track him down, but the voice at the end of the line is welcoming. "There are still some vacancies. You'll have such fun!" And so a few days later I am on a metro rattling east of Rome. Emerging from the station, a sliver of moon hangs over the darkness. It is a cold 5.45am. Dozens, hundreds of silhouettes tramp down the road in silence. We stop at the gate of a walled complex and wait for a bearded man in denim to finish scratching. "Everything in good time, children." In groups of six we are allowed to enter the fabled Cinecitta studios. The magical world of movie making beckons.

Believe the hype (we do) and what awaits is the box-office hit of 2001. The Gangs of New York has a $90m budget, Martin Scorsese (pictured) directing, Leo DiCaprio, Cameron Diaz, Daniel Day Lewis and Liam Neeson starring, and us. There isn't really a verb for us. We are extras. We be.

During the next few hours we will be part of Team Hollywood, giving our best in exchange for a peek inside the machine. Given the flight of productions from America to places where costs are lower, this could be a glimpse of the future. At this stage of production, secrecy is needed to allow suspense to build before the publicity blitz. Journalists and photographers are not welcome. Lucky for me that the producers want Irish-looking people. Freckles and red hair are gold dust.

Dawn seeps over us to unveil the day's first extraordinary sight. Ginger Romans. Perms, waves and buzz cuts are tinged orange. They glint in the sun, each strand painstakingly dyed. A hush of respect envelopes this minority. When returning to the real world they will be ridiculed. They will suffer for their art.

After signing away our rights to compensation should an act of God or Scorsese strike us dead, we file into three costume warehouses. The film is about rival immigrant gangs vying for control of 1850s New York. A few well-dressed Yanks are to be sprinkled among 600 soldiers and ragamuffins. We strip down to our underpants - boxer shorts for foreigners, Y-fronts for Romans - while dressers scour racks for coordinated outfits that fit. The female dressers affect a clinical, nurse-type demeanour. Their male colleagues, camp as a row of a tents, flirt. "You are a big boy; let's go to this dark corner and see what we find." Not even the tattooed Lazio fans dare object.

Attention to detail is fanatical. Shirt, waistcoat, jacket, trousers, socks and boots are matched. If the buttons don't look right, they are replaced. Archive pictures of Irish villagers during the famine are scattered on tables. My third outfit is deemed acceptable: brown boots, socks, trousers and braces, stripy white shirt, purple waistcoat and fudgey jacket. Everything itches. My hair is judged an asset so a bowler hat is discarded. Make-up teams smear grease on heads and three types of dirt on faces, hands and nails. Staring back from the mirror is what Oliver Twist would look like after being rammed up a chimney. In the trailer toilets a 20-year-old is desperately rinsing his tresses in the sink. "Ruined," he wails.

Breakfast is one, and only one, pastry each. Too late a veteran murmurs his wisdom. "Eat before make-up, then they won't recognise you when you go back for another." An extra with a handlebar moustache is caught taking a photo of his friend in leprechaun-green. The film is destroyed, the camera confiscated. Stuffing newspapers and books down trousers to read later, we are herded to the set.

Benito Mussolini wasn't totally daft. It was his idea in 1936 to turn 600 hectares of real estate into one of the world's greatest studios. After the second world war, Cinecitta incubated directors such as Fellini and Visconti and enjoyed a golden age with films such as Cleopatra, Spartacus, War and Peace, A Farewell to Arms and La Dolce Vita.

Dante Ferretti's set designs were famous. He is still here. Yawning up around us are New York tenement slums, bakeries, warehouses, docklands, ships. Streets are cobbled, laundry hangs from windows, stoves puff smoke. The lemons are real, the fish are not. The sign saying "P. Daily's Fish Market" is exquisitely faded. Green water laps the harbour. A blue screen blocks the horizon.

A production assistant on the verge of tears bellows at the milling crowd in Roman dialect. "Please, order, please." People in jeans, runners and sunglasses materialise from trailers, muttering into earpieces. They are the Americans. The director is on his way.

Scorsese made Taxi Driver, Raging Bull and Goodfellas, but has never won an Oscar or had a global box-office smash. Gangs, based on the book by Herbert Ashbury, could be the one to change that. He arrives driving a golf cart with two personal assistants who will never leave his side. Wearing jeans, runners and a blazer, he hops out and backslaps the cast. He is very small.

Despite being seven days behind schedule, the entire day is devoted to one complicated shot where a single camera will track DiCaprio walking past rows of seated customs officials, follow new arrivals being led away, skim past a battalion marching through a fish market, glide up on a crane to catch soldiers entering a ship and glide down to catch coffins being lowered onto the docks. A lesser director would use five cameras and an editing suite.

Scorsese is sprawling in a chair during a lull when my mobile trills. An assistant turns white. "Christ, turn it off, Marty will get his axe and cut your head off." The assistant is trembling, though Marty appears not to have heard. An extra sidles up. "He looks friendly, but that's only with the actors. We don't exist. Last week he was walking through us and we didn't get out of the way in time. He shouted that we should know who he was."

A sudden silence announces the arrival of DiCaprio. Beneath a top hat his face is pasty and bloated compared to the way it looked in his last film, The Beach. Too much pasta and nightlife, say the Italian papers. Scorsese has put him on a diet but tolerates his smoking, forbidden to others. DiCaprio leans on a pillar and plays "chicken", the hand-slapping game, with another actor. In the film his father, Liam Neeson, is killed by Daniel Day Lewis. In reality DiCaprio and Day Lewis can't stand each other, goes the gossip. The star of My Left Foot is liked for mixing with the crew in the canteen, though his penchant for maintaining his character's accent off camera is greeted with giggles. So too DiCaprio's query to the linguistic consultant. "To insult him, should I use motherfucker or cocksucker?" (The latter.)

By 1pm the sun is melting make-up and patience at yet another lull. Actors disappear into trailers while extras sit outside. Immigrants slump on their luggage, soldiers point rifles at Scorsese and the horse urinates for the fourth time. A group of crones wrapped in shawls, extras since the spaghetti westerns, lecture the youngsters on professionalism.

The director is unhappy with a customs official's style of granting citizenship."You're supposed to be bored, it's not a big deal, it's routine, don't lean forward. Sit back." DiCaprio and Day Lewis have no lines today but are praised for their body language.

My job is to amble towards one of the ships while soldiers march past. After 19 takes the boots begin to hurt. A female immigrant appears to collapse and is led away. "Water for background people," orders Scorsese.

Veteran extras warn neophytes to beware the purges. Chatting too much, squeezing into the shot and smoking can incur banishment. A female extra allegedly caught having sex on set with a supporting actor was fired.

Many extras are wannabe actors who dream of catching the producer's eye. Others come out of curiosity, and most come for the £50 a day. A pittance by American standards but irresistible to a shop assistant on £1.50 an hour. The catch is that a day can stretch to 18 hours, by which time they've missed the last metro and must pay for taxis. After one such marathon the only one to say thanks was Cameron Diaz, says one extra.

By 3.30pm the scene is still not right. It's late October but the sun is roasting and lunch has yet to appear. We look and smell increasingly authentic. Discipline breaks down. Soldiers are marching out of step, an officer wears his cap back to front, a copy of Gazzetto dello Sport is left on a barrel.

Another shout of "cut" sparks mutiny. Moans of protest ripple and swell into curses. Lazio fans start chanting. The Americans are shocked. This is not the Hollywood way. A producer grabs a megaphone and defuses a riot by promising we can leave after lunch. It's a lie. Assistants pounce during dessert and herd us back to the docks where we remain until sunset. The forest of stiff limbs which eventually shambles back to the changing rooms is quiet. We've peeked inside the machine and the mystery is gone.

Info actustar du mardi 30 janvier 2001 : Le secret de Leonardo DiCaprio

Vous pensiez tout savoir de lui, et bien il y a peut-être un peu détail de la vie de Leonardo DiCaprio que vous ignorez encore. L'acteur assistait samedi à une cérémonie officielle, en Italie, et c'est au cours de celle-ci que Leonardo s'est laissé aller à faire une petite confidence au public. Tout le monde connaît ses origines italiennes, dont son nom est très significatif, mais il possède également des origines germaniques qui lui viennent de sa maman. Ainsi, il a révélé avoir pour second prénom Wilhelm. L'acteur américain est très fier de ses racines européennes et il a souvent dû lutter au début de sa carrière, pour pouvoir conserver son vrai nom sous la pression des producteurs de cinéma qui le trouvaient trop exotique. Et c'est bien sous son vrai patronyme et non sous un pseudonyme que Leo a réussi la jeune, mais brillante carrière qu'on lui connaît, un joli pied de nez à tous ces producteurs ! Martin Scorsese, avec qui Leo a tourné Gangs of New York ces derniers mois, a aussi fait sa propre révélation au cours de la soirée. Pour lui, Leonardo DiCaprio appartient à la catégorie des acteurs instinctifs au même titre qu'Al Pacino, Dustin Hoffman ou Robert De Niro, ce qui est un très beau compliment !

Info Actustar du lundi 5 février 2001 - Leonardo DiCaprio, justicier des temps modernes

L'interminable tournage de Gangs of New York, qui se déroule en Italie et dont fait partie Leonardo DiCaprio, vient de connaître une nouvelle mésaventure. Des photograhes sur le tournage d'une scène extérieure ont provoqué un véritable ouragan parmi les acteurs du film. Trois figurantes, deux femmes et une adolescente de12 ans, ont, en effet, été légèrement blessées par des chevaux qui étaient manifestement très troublés par la présence des photographes. Ces derniers ont même tenté de prendre des clichés des trois blessées à terre. Leonardo DiCaprio a répondu à cette intrusion de très mauvais goût en envoyant des excréments des chevaux à la tête des deux intrus. Cameron Diaz, de son côté, aurait été tellement choquée par la scène qu'elle aurait failli perdre connaissance. Selon une version différente de l'incident, elle n'aurait pas hésité à faire de même que Leo et à lancer des excréments sur les appareils photos. Le soir même, Leonardo et Cameron ont rendu visite à l'une des trois figurantes, toujours hospitalisée. Martin Scorsese, de son côté, non seulement exaspéré par l'attitude des photographes, en aurait également plus qu'assez de l'attitude de Leonardo sur le tournage. L'acteur s'est dernièrement octroyé 4 jours de vacances qu'il a passés avec sa petite amie, Gisele Bundchen, enfermé dans une chambre d'hôtel de Londres.

Info ActuStar du mardi 20 février 2001 - Leonardo DiCaprio et Gisele sont vraiment fiancés

Gisele Bundchen, la petite amie de Leonardo DiCaprio, a fait quelques révélations croustillantes à la revue brésilienne Veja. Le top model brésilien a finalement reconnu qu'elle était bien fiancée à Leonardo DiCaprio (et oui, désolé, mesdemoiselles !) comme l'avançait depuis un certain temps la presse américaine. Cette rumeur avait pourtant été démentie dans un premier temps par l'attaché de presse de l'acteur. "C'est bien mon fiancé. Je ne l'ai jamais dit auparavant parce que je ne voulais pas que les gens se mêlent de cette affaire, je n'aime pas parler de ma vie privée" a déclaré la jeune femme de 20 ans. Gisele, très amoureuse du beau Leo, ne tarit pas d'éloges sur son fiancé et ne lui trouve que des qualités : "C'est une personne merveilleuse, douce, avec un coeur énorme, il est très mûr, très conscient des choses. Il sait tout". De plus, Gisele affirme ne lui connaître aucun défaut. Ils ne nous joueraient pas un remake de Roméo et Juliette, ces deux-là ?

Info Actu Star du lundi 26 mars 2001 - Leo bientôt marié ?

De nouvelles rumeurs circulent sur le couple formé par l'acteur américain Leonardo DiCaprio et le mannequin brésilien Gisele Bundchen : le beau Leo serait prêt à épouser sa promise dès cet été ! Si la nouvelle de leurs fiançailles, annoncée par la presse américaine, avait été démentie par les deux intéressés, l'événement était pour autant bien véridique, puisque Gisele a ensuite reconnu être effectivement fiancée à l'acteur de Titanic. Après ces fiançailles, la prochaine étape se doit donc d'être le mariage ! La jeune femme, qui avait déclaré dans une précédente interview ne pas être prête pour le mariage, aurait confié à un de ses amis qu'elle était folle amoureuse de Leo. Elle aurait accepté sa demande en mariage et aurait ajouté qu'il faudrait qu'elle soit complètement idiote pour refuser son offre. (Delphine).

Info Actu Star du 28-05-2001 - Un projet de Leonardo DiCaprio remis à flot

Lasse Hallstrom est en pleines négociations afin de réaliser le prochain film qui aura pour héros Leonardo DiCaprio. A l'origine, Catch me if you can aurait dû être le prochain tournage de Leo après Gangs of New Yok qu'il tournait sous la direction de Martin Scorsese, mais ce film a pris un tel retard que le réalisateur Gore Verbinski a abandonné le projet et que Leo a donc le temps de faire un autre film avant que tout reprenne son cours normal. Mais pas de souci, Catch me if you can devrait se faire et cela promet, car il est inspiré de l'histoire vraie de Frank Abagnale Jr qui fut le plus jeune bandit à avoir figuré sur la liste des criminels recherchés par le FBI. Frank Abagnale Jr a, en autre, émis plus de 6 millions de dollars de faux chèques à travers les50 états des Etats-Unis et dans 26 pays étrangers. Il était un véritable spécialiste de la contrefaçon, avant de se reconvertir en consultant pour le FBI. Le tournage devrait débuter en mars 2002 avec Leo dans le rôle de ce grand bandit depuis repenti. (Delphine).

Info Allo Cine - 8 juillet 2001 - Hallström quitte DiCaprio

Après Gore Verbinski, c'est au tour de Lasse Hallström d'abandonner le projet "Catch me if you can"...

Décidément, le projet Catch me if you can, a du mal à trouver un réalisateur. Après Gore Verbinski, Lasse Hallström vient en effet d'annoncer qu'il renonce à mettre en scène le scénario rédigé par Jeff Nathanson. On ne connait pas encore les raisons de cet abandon.

Le script retrace l'histoire de Frank Abagnale Jr., le plus jeune escroc qui ait jamais été recherché par le F.B.I. Rappelons que le rôle principal sera tenu par Leonardo DiCaprio et que l'agent fédéral chargé de l'arrêter sera interprété par James Gandolfini, que l'on a pu voir dans la série télévisée, Les Sopranos. Le tournage devant débuter en mars 2002, DreamWorks recherche activement un réalisateur. Si vous êtes intéressés par le projet, vous pouvez toujours envoyer votre C.V. et une lettre de motivation...

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